Il n'y a pas de chiffres, c'est vrai, mais il faudrait peut-être que M. Coquerel et ceux qui en réclament fassent la liste des attentats que nous avons subis : vous vous apercevrez, comme Éric Diard peut d'ores et déjà vous le dire, que le lieu de radicalisation de leurs auteurs n'est pas toujours la mosquée, bien au contraire ; ce sont le plus souvent les lieux d'activité sportive.