La France ne doit pas se résigner à voir, d'un côté, des territoires qui réussissent, se développent, et sont florissants, et, de l'autre, des territoires qui souffrent, où les commerces ferment, où les industries mettent la clé sous la porte et où les salariés désespèrent.
La France ne doit pas se résigner à être systématiquement placée derrière les autres grandes nations européennes. Elle a vocation à être devant. La stratégie économique que nous portons avec le Président de la République, le Premier ministre, le ministre de l'action et des comptes publics, doit permettre à la France de retrouver la seule place qui vaille pour elle : la première.