L'IGAS soulève cette question depuis 2013. J'ai décidé que, collectivement – et non pas seulement le Gouvernement –, nous ne pouvions plus accepter cette situation. C'est la raison pour laquelle je ne me suis pas contenté de commenter le rapport de l'IGAS, madame Panot : je l'ai commandé, afin d'être en mesure d'objectiver le sujet, car personne ne savait précisément combien de mineurs étaient concernés ni de quels mineurs nous parlions.
J'imagine que vous avez tous lu le rapport de l'IGAS jusqu'à la fin : préconise-t-il, dans ses recommandations, d'interdire totalement les hôtels, du jour au lendemain ? La réponse est non.