Les situations d'urgence, monsieur le secrétaire d'État, traduisent, d'une certaine manière, un débordement. Je suis étonné que vous n'organisiez pas une forme de solidarité départementale, territoriale pour y faire face. On l'a fait pour les établissements hospitaliers pendant la crise du covid-19, avec le transfert de personnes malades. On l'a également fait pour la vaccination. Or on ne le fait pas pour accueillir des gens qui se trouvent dans des situations particulières. N'est-ce pas également le rôle de l'État d'organiser cette solidarité territoriale pour éviter ces situations très embêtantes et irrespectueuses des droits de l'enfant ?