Madame la présidente, monsieur le ministre, monsieur le président de la commission des finances, monsieur le rapporteur général, mes chers collègues, je sais que nous travaillons sur des textes très techniques, mais cela ne m'empêche pas, en ce vendredi matin, de débuter mon intervention par une citation un poil poétique de Nicolas Boileau, qui se prête très bien à notre exercice.