L'amendement, qui est inspiré par la Convention nationale des associations de protection de l'enfant (CNAPE) mais aussi par mon travail avec l'association départementale de sauvegarde de l'enfance et de l'adolescence (ADSEA) des Alpes-de-Haute-Provence, réaffirme la nécessité d'organiser des rencontres avant la majorité du jeune qui a été pris en charge par l'aide sociale à l'enfance, pour le préparer à cette nouvelle étape : la fin de la protection, l'autonomie, les droits nouveaux. Il précise que les entretiens doivent avoir lieu autant que de besoin, leur nombre n'étant pas nécessairement limité à un seul.