Les effets de ces conventions doivent par ailleurs être pris en compte dans les lois de finances à travers des études d'impact qui examineraient la situation des personnes non imposées en France et celle des citoyens français non imposés à l'étranger.
Cet amendement n'empêche personne de travailler, et surtout pas la commission des affaires étrangères de se pencher sur les conventions internationales en matière de fiscalité. En revanche, il ouvre une possibilité essentielle de mener à bien le travail de toilettage des conventions fiscales, travail qui ne fait que commencer. Je suis donc tout à fait favorable à cet amendement.