En conséquence, les universités visées vont devoir augmenter de 20 % leurs capacités d'accueil en faveur des actuels étudiants inscrits dans ces formations.
Madame la ministre, vous engagez-vous, cette fois, à ce que les universités concernées soient en mesure d'ouvrir des places supplémentaires pour accueillir à la rentrée des étudiants qui se sentent lésés par la réforme des études de santé ?