Monsieur le secrétaire d'État, je regrette que quand nous cherchons à rencontrer notre ministre, il ne soit jamais présent – c'est malheureusement encore le cas cet après-midi.
La deuxième observation, c'est que vous répondez à côté de la question qui vous a été posée alors qu'elle est simple – quels sont les arbitrages qui ont été décidés alors que, de notre côté, nous avons fait notre part en participant au débat.
Enfin, je constate qu'à chaque fois qu'il s'agit de Mayotte, le Gouvernement louvoie au lieu d'aller droit au but. C'est un profond regret.