Chers collègues, M. Son-Forget s'est exprimé moins de deux minutes et j'étais tenu de lui laisser la parole. Je répète néanmoins en insistant que nous sommes dans une période de crise ; des familles ont été meurtries. Des Français nous regardent en ce moment même à la télévision. Notre responsabilité, quels que soient nos votes, est d'offrir au moins le spectacle d'une démocratie apaisée.