Il vise à modifier la date d'entrée en vigueur du passe sanitaire. D'abord, parce que la date inscrite prévoit un effet rétroactif, ce qui n'a aucun sens et ne peut emporter de conséquences juridiques ; ensuite, parce que l'application du dispositif a été annoncée le 12 juillet : il convient de laisser aux Français le temps de se faire vacciner, en tenant compte des délais pour obtenir un rendez-vous, qui ont beaucoup augmenté, et d'une nouvelle pénurie de vaccins.