Je me permets tout d'abord de vous remercier, monsieur le président, d'avoir ramené un peu de calme dans l'hémicycle. Certes, le président Habib n'a pas eu la tâche facile hier soir ; elle était même presque impossible. Je pense que nous allons bien avancer ce matin, grâce à vos bonnes méthodes ; et puis on sent bien que tous les collègues veulent en finir, ce qui est à la fois une bonne et une mauvaise chose.
Je vous remercie également d'avoir donné à nouveau la parole à Martine Wonner.