Je me fais le porte-voix de mon camarade Éric Coquerel, que le bouleversement incessant de l'agenda empêche d'être présent. Mais il se trouve que nous faisons la même analyse.
La loi de règlement que nous examinons en lecture définitive confirme le dérèglement de l'État français. Comme d'habitude, le Gouvernement est content de ce qu'il a fait. Il dit avoir engagé « une mobilisation sans précédent, en réponse à l'urgence sanitaire, économique et sociale ».