En pleine crise collective, la gestion de l'épidémie dans le secret des conseils de défense sanitaire revient à laisser gouverner le pays par une seule personne, le Président de la République, dont il faut ensuite revoir la moitié des décisions parce qu'elles sont ingérables. À présent, vous vous engagez dans une pente plus hasardeuse encore : vous entrez dans l'intimité du corps sain ou malade, souffrant ou mourant, pour y établir le règne de vos lois et règlements absurdes.