Je répète ce qu'ont dit les autres vice-présidents ainsi que le président Ferrand : l'heure est grave, nous ne sommes pas obligés d'offrir un spectacle qui n'est pas digne de ce qu'attendent nos concitoyens.
Je vous rappelle que cette séance est télévisée. Nos concitoyens attendent de nous un débat parfois fort, mais en aucune façon débridé comme nous venons d'en avoir un aperçu à l'instant. Je vous demande aux uns et aux autres de vous écouter – c'est vrai pour l'opposition, mais également pour la majorité.
Dans la discussion générale, la parole est à M. Bastien Lachaud.