Encore quelques secondes, monsieur le président, et je ne crois pas avoir abusé de mon temps de parole depuis le début de l'examen du PLF. C'est un sujet important. Nous sommes saisis tous les jours par les familles. Les Français de l'étranger ont le sentiment d'être considérés comme des Français à part, et non à part entière. Je rappelle qu'ils se sont prononcés à une large majorité en faveur de la majorité présidentielle. Que cette majorité ne l'entende pas aujourd'hui me paraît regrettable. Je ne sais pas si les mesures demandées sont chimériques ; en tout état de cause, si le Gouvernement faisait un effort, il pourrait aisément trouver 30 millions d'euros. Je me permets d'insister, car c'est très important.