Un petit mot, puisque mon collègue Jean-Luc Fugit a déjà quasiment tout dit. Oui au développement du chauffage au bois pour lutter contre les gaz à effet de serre, mais attention à son effet pervers : la production de particules fines PM 10 et PM 2,5. Il faut donc encadrer ce mode de chauffage.
À titre d'exemple, dans ma circonscription à Grenoble, 90 % des habitants sont exposés à des seuils supérieurs à ceux fixés par l'OMS. C'est la réalité de la pollution atmosphérique. J'ai travaillé sur le plan de protection de l'atmosphère avec quelques collègues, les préfectures de la Haute-Savoie et de l'Isère, Atmo Auvergne-Rhône-Alpes – l'observatoire pour la surveillance et l'information sur la qualité de l'air en Auvergne-Rhône-Alpes –, l'agence de la transition écologique, la filière bois,…