Rejeter cet accord, ce serait repartir, comme vous le voulez, d'une page blanche, mais ce serait tirer un trait de plume sur 160 ans de relations diplomatiques ; ce n'est pas du tout la bonne méthode. Bien au contraire, il faut approuver l'accord et avancer en étant fermes sur ce en quoi nous croyons et certains de ce que nous voulons défendre. Par conséquent, j'invite mes collègues à rejeter la motion de rejet préalable.