Dans ce texte relatif à la sécurité globale, la surveillance est généralisée. Au passage, on nous explique qu'il ne sera pas possible de recourir à la reconnaissance faciale. Toutefois, rien n'empêchera de procéder à un traitement algorithmique ; rien n'empêchera non plus d'obtenir une reconnaissance faciale avec les autres moyens de captation d'images, puisque seuls les drones sont concernés par cette interdiction introduite par le Sénat.
Évidemment, je ne peux pas m'arrêter en si bon chemin…