Au-delà de l'artificialisation, il s'attaque à l'imperméabilisation des sols : nous proposons que les ensembles commerciaux – au sens de l'article L. 752-3 du code de commerce – présentent à la commission départementale d'aménagement commercial – CDAC –, « un programme de végétalisation et de rétablissement de la perméabilité d'au moins 50 % de la surface de leurs aires de stationnement, qui doit être mis en œuvre en dix ans ». Vous avez exclu ces aires du calcul de la taille des ensembles commerciaux. Il faut donc aborder le sujet, et ces dispositions se situent dans le domaine du possible, puisque les exploitants auraient dix ans pour changer les revêtements, tout en œuvrant au respect des sols de manière concrète et efficace.