Si vous le permettez, monsieur le président, je défendrai par la même occasion mon amendement suivant, le n° 1389. Tous deux sont faciles à comprendre et leur adoption aurait des conséquences très positives sur les parkings en nappe.
Le premier vise à ce que, pour tout nouveau projet de ce type, au moins 50 % de la surface soit ombragée. Vous aurez certainement tous constaté que lorsque vous garez votre voiture sur un parking de supermarché en plein mois de juillet, le sol irradie littéralement la chaleur : des surfaces ombragées réduiraient l'impact du soleil sur ces nappes.
Le second prévoit que tout nouveau projet de parking en nappe devra comprendre au moins 50 % de surface perméable, afin de lutter contre l'imperméabilisation des sols, comme le souhaitent également Julien Aubert et Dominique Potier.
Ces deux amendements se complètent. Il n'est pas nécessaire que la partie perméable soit la même que la partie ombragée, ce qui n'aurait d'ailleurs aucun sens : mieux vaut ombrager une moitié du parking et perméabiliser l'autre. La combinaison des deux peut être déterminante pour l'avenir de ces surfaces !