L'amendement est le fruit d'échanges avec des associations étudiantes nantaises, notamment à l'école nationale supérieure d'architecture de Nantes où les étudiants sont très engagés dans la transition écologique, en particulier pour le climat.
Partant du constat selon lequel démolir et reconstruire génèrent bien plus d'émissions de gaz à effet de serre que de rénover des bâtiments, l'amendement vise à exiger, avant toute démolition, une étude évaluant le potentiel de réversibilité du bâtiment.
Il s'agit de promouvoir la réversibilité en lieu et place de la démolition et de la reconstruction, afin d'atteindre deux objectifs très simples que nous partageons tous, je crois : diminuer les gaz à effet de serre et décourager autant que faire se peut l'artificialisation des sols.