Je vous remercie, madame la secrétaire d'État. Je retire l'amendement, car je vous fais entièrement confiance : je connais votre attachement à ce sujet. J'insiste tout de même sur sa gravité : dans notre département, il est prévu, sans qu'on recherche d'autres solutions, que des alignements de platanes multicentenaires soient abattus parce qu'ils sont accidentogènes ou pour permettre l'agrandissement de routes. On ne peut pas abattre d'un coup des arbres qui ont 200 ans. C'est essentiel pour notre pays et pour notre survie.