Il vise à encourager la philanthropie foncière pour participer à l'atteinte des objectifs fixés par la stratégie nationale pour les aires protégées, à savoir 30 % du territoire national sous protection, dont 10 % sous protection forte.
Il est ainsi proposé d'exempter du droit de préemption des sociétés d'aménagement foncier et d'établissements rural (SAFER) les donations au profit des personnes morales reconnues d'utilité publique et dont l'objet principal est la protection de la biodiversité.