Je défendrai également l'amendement n° 4703 de mon collègue Raphaël Schellenberger. Nous souhaitons que le rapport prévu à l'alinéa 2 prenne en considération et encourage les solutions immatérielles et technologiques, existantes ou futures, permettant de réduire l'usage des produits phytopharmaceutiques – certains de ces outils d'aide à la décision ont fait leurs preuves. Le Parlement serait ainsi éclairé dans les décisions qu'il devra prendre à l'avenir.