Nous sommes ici dans une autre discussion. On peut être pour ou contre les primaires – j'y suis défavorable à titre personnel, ainsi qu'en témoigne un petit opuscule que j'ai commis sur le sujet où j'explique qu'elles constituent un tamis sociologiquement très ciblé – mais, quoi qu'il en soit, c'est une décision politique, et je ne vois pas ce qu'apporterait à la démocratie le fait d'en faire une obligation légale.
Je ne suis pas pour les divisions artificielles mais, si des forces politiques ont envie de se rassembler, cela ne peut se faire par obligation mais sur un programme.