Le Gouvernement a annoncé un calendrier de déconfinement, un assouplissement du télétravail et un calendrier optimiste de vaccination laissant entrevoir une sortie de l'épidémie. Dans ce contexte, les auteurs du présent amendement considèrent que les mesures exceptionnelles portant atteinte aux droits des salariés, qui ont été prises dans le contexte du début de la crise du covid-19 et du premier confinement, n'ont pas lieu d'être prolongées jusqu'à un horizon aussi éloigné que le 31 octobre, et encore moins d'être aggravées. La prolongation de l'état d'urgence est attentatoire à toutes les libertés et aux droits sociaux. C'est pourquoi nous proposons de supprimer les alinéas 34 à 36.