C'est pourquoi, dès 2017, un avenant conclu entre le ministère des solidarités et de la santé, le ministère du travail, de l'emploi et de l'insertion, la Caisse nationale d'allocations familiales (CNAF) et Pôle emploi a ramené ce taux à 20 %. Cette évolution, décidée en concertation avec les représentants des gestionnaires de crèche, répondait à un véritable besoin et a permis de pérenniser le modèle des crèches AVIP.