…mais personne n'a voulu la reconnaître sur le plan judiciaire.
C'est pourquoi, mes chers collègues, je fais appel à votre esprit d'humanité. Cette affaire a beau dater de 1946, il y a des familles qui attendent toujours et derrière elles tout un département, et si je me permets de vous inviter à ne pas suivre l'avis du ministre, c'est parce que je pense que ces deux hommes le méritent, ces deux personnes qui s'appelaient Raymond Mis et Gabriel Thiennot.