Enfin, le Conseil constitutionnel reconnaît la constitutionnalité de l'autorisation prévue par la loi de l'affichage de traductions en langue régionale sur les inscriptions et les signalétiques publiques.
Il reste, et vous avez parfaitement raison de le souligner, la question de l'enseignement immersif. Il nous appartient politiquement de tirer toutes les conséquences de la décision de censure du Conseil constitutionnel qui ne porte pas, vous l'avez dit, modification de l'article L. 312-10 du code de l'éducation.
S'agissant d'un texte d'origine parlementaire, je vous annonce que je vais confier à deux députés une mission…