Une enquête a-t-elle été menée avant d'autoriser le retour de cet individu notoirement violent à son domicile, donc chez sa compagne ? Pourquoi le dépôt de plainte n'a-t-il pas été utilisé comme un facteur aggravant empêchant d'envisager une libération anticipée, même avec un bracelet électronique qu'il a d'ailleurs arraché ? Monsieur le Premier ministre, comment comptez-vous corriger les failles établies en Moselle pour éviter à tout prix que pareil drame se reproduise ?