Nous ne la reconnaissons pas aujourd'hui et nous ne la reconnaîtrons pas davantage demain.
De plus, nous apportons notre solidarité permanente à l'opposition biélorusse. Je me suis entretenu hier avec Mme Tikhanovskaïa, réfugiée en Lituanie, afin de l'en assurer.
Enfin, trois trains de sanctions ont déjà été pris à l'encontre du Bélarus, lesquels ont été complétés hier par des sanctions économiques contre certaines entités majeures du pays. Nous les prorogerons jusqu'à ce que le régime reconnaisse le choix démocratique qui a été fait et se plie à la pression du peuple.