Monsieur le ministre de l'éducation nationale, vous avez fait des annonces dans Ouest-France samedi dernier. Malheureusement, vos déclarations ne nous rassurent pas complètement, non plus que les acteurs du secteur associatif, quant aux conséquences éventuelles de la décision du Conseil constitutionnel. Pouvez-vous clarifier votre position sur l'immersion ? Comment garantirez-vous l'avenir des écoles immersives malgré la décision du Conseil constitutionnel ?