Monsieur Mesnier, je pense que c'était une erreur de plume : dès lors qu'il s'agit d'une carence ambulancière, on n'est plus dans les compétences des pompiers. Je ne vois donc pas pourquoi il faudrait prévoir une concertation. Celle-ci n'a de sens que pour des interventions relevant de leurs compétences, ce qui, en l'espèce, ne sera pas le cas.
Je ne pense pas que l'adoption de cet amendement bouleversera les équilibres, et connaissant les pompiers, ils continueront d'assurer les interventions s'ils sont disponibles. S'agissant des carences, soyons attentifs : il faut qu'on permette aux pompiers de préserver leurs capacités opérationnelles pour les urgences qui peuvent se présenter sur un territoire.