Le Gouvernement est défavorable à une modification de l'appellation actuelle. D'une part, les premiers concernés sont attachés au fait d'être désignés comme des sapeurs-pompiers plutôt que comme des pompiers – la Fédération elle-même n'est pas favorable à un changement de nom. D'autre part, imaginez-vous les dizaines de millions d'euros qu'il faudrait consacrer à la modification des logos des véhicules, des papiers à lettres… Je ne suis pas certain qu'il s'agisse d'une dépense publique des plus utiles.
Disons que cet avis défavorable n'a rien d'idéologique et qu'il relève sans doute du simple bon sens.