Je ne voudrais pas, par mon avis défavorable, donner le sentiment que nous ne sommes pas conscients de la nécessité de regrouper certaines casernes, ni des difficultés que vous évoquez. Je profite d'ailleurs de l'occasion pour rappeler à M. Bernalicis que, sur les quelque 40 000 sapeurs-pompiers professionnels que compte la France, 43 % sont également volontaires, souvent dans des territoires ruraux : ils ne se contentent pas de faire des heures supplémentaires, même si ce n'est peut-être pas le cas dans votre département. Ils se portent aussi volontaires dans les petites casernes – pardon de les appeler ainsi – des territoires ruraux.