Mille neuf cent cinquante-sept, La Gloire de mon père : l'époque paraît si lointaine, où Marcel Pagnol écrivait un livre pour chanter l'amour d'un père simple et fort – un père qui a instruit autant qu'il a éduqué ; un père qui a impressionné autant qu'il a consolé ; un père qui se fâchait autant qu'il embrassait. Pagnol a eu un père, et il nous l'a livré avec une douceur poétique, pour que jaillisse en nous l'image du père qui était le sien mais qui pourrait, aussi, être le nôtre.