Madame la présidente, monsieur le secrétaire d'État, madame la présidente de la commission, je ne voudrais par voler la vedette à Jean-Luc Reitzer, qui cumule les fonctions ; je ne voudrais pas non plus m'opposer à Bruno Fuchs, qui a particulièrement bien montré qu'il ne s'agit pas du CETA. Je dirai malgré tout que nous examinons aujourd'hui un « mini-CETA » kazakh.