Toujours sur le même sujet, il vise à favoriser la mutualisation passive des infrastructures mobiles. Il vise à imposer à chaque opérateur prévoyant de construire un nouveau pylône l'obligation de consulter ses concurrents en vue de partager celui-ci, et de le concevoir de telle sorte qu'il puisse servir à l'ensemble des opérateurs intéressés. En effet, les structures existantes se révèlent très souvent impossibles à mutualiser, car elles n'ont pas été pensées pour supporter la charge des équipements de plusieurs opérateurs : les nouveaux pylônes, du moins, échapperaient à un tel écueil. L'amendement a été travaillé avec un opérateur. On comprend qu'à l'époque de la conception des anciens pylônes, personne n'ait imaginé que nous pourrions un jour leur demander d'accueillir trois ou quatre antennes ; mais à l'avenir, il serait bon qu'il en aille différemment.