Je suis d'accord pour que l'employeur puisse mieux accompagner ses salariés pendant la crise : nous l'avons permis avec la prime Macron et avec des incitations à l'augmentation de leur pouvoir d'achat. Mais ce qui m'ennuie avec ces amendements, c'est qu'en fonction de la participation de l'employeur – 40 %, 50 % ou 60 % –, ils entraînent de fait une augmentation de la participation obligatoire de l'employé ; cela s'en ressentira sur la feuille de paye.
Je ne suis donc pas favorable aux options qui sont obligatoires pour les salariés, je préfère la liberté de choix, la priorité au déstockage des titres restaurant et les primes comme la PEPA.