Je partage votre volonté de favoriser autant que possible le réinvestissement ; nous partageons ce combat depuis plusieurs années.
Toutefois, nous avons travaillé depuis un certain temps avec Jean-Noël Barrot sur cette question de l'apport-cession. Le délai actuel de deux ans me semble satisfaisant et je ne suis pas sûr qu'il soit nécessaire de le prolonger. Avis défavorable.