Les dispositions actuelles de l'article 244 quater E n'incluant pas le secteur du transport, nous demandons que le CIIC soit ouvert aux entreprises de transport. En effet les transporteurs corses souffrent de situations inégalitaires par rapport à leurs homologues continentaux en raison de tous les surcoûts qu'on peut aisément imaginer. Étendre le CIIC au secteur des transports permettrait d'aider de manière immédiate ces entreprises qui sont en plus fragilisées, comme d'autres, par la crise et surtout d'établir des conditions plus justes de concurrence entre les transporteurs corses et leurs homologues continentaux, non seulement français mais aussi européens.