Je suis défavorable à l'évolution de la TTF car nous ne devons pas envoyer de signaux négatifs aux investisseurs étrangers alors que la politique fiscale que nous conduisons pour renforcer l'attractivité de notre pays produit ses effets : pour la deuxième année consécutive, la France est le premier pays européen en termes d'investissements directs étrangers (IDE), ce dont nous devons nous réjouir car ces investissements soutiennent l'économie et créent de l'emploi. En revanche, je soutiens les initiatives prises à l'échelle européenne pour faire de la TTF une des ressources propres de l'Union et pour réduire l'endettement communautaire.