Ce que vous avez choisi d'anticiper, c'est la fermeture de milliers de lits grâce à vos regroupements d'hôpitaux : en pleine pandémie, c'est honteux ! Vous laissez les soignants sous tension et ouvrez la porte à la privatisation de notre système de santé.
Monsieur le ministre de la santé, la colère des soignants dans la rue aujourd'hui doit être entendue comme elle aurait dû l'être en 2019, lors de la grève des urgences. On se demande vraiment ce que vous attendez.