Ils veulent que l'on reconnaisse leur différence et leur besoin d'être accompagnés, comme vous l'avez dit, madame la secrétaire d'État.
J'ai eu honte de vous entendre avancer qu'un logiciel risquerait de compromettre la déconjugalisation. L'informatique nous dicte-t-il nos choix de société ? Je m'y refuse ! À toutes et à tous, je demande de délibérer en votre âme et conscience de parlementaires qui exercent leur liberté de vote !