Madame la ministre du travail, de l'emploi et de l'insertion, chacun son point de vue, nous ne serons jamais d'accord. Nous sommes des révolutionnaires ; vous ne l'êtes pas pour un sou.
Loin d'être choisie, c'est bien une précarité subie qui s'abat sur les intermittents de l'emploi, une situation qui pèse sur la santé et le moral. D'ailleurs, l'étude de la DARES déjà citée pointe les dégâts sur la vie privée rendue difficile par un volume d'heures incertain et par la nécessité de rester disponible.