Je précise aux membres de la majorité, que j'ai vus s'agiter dès que Mme El Aaraje a pris la parole, qu'elle n'a bénéficié d'aucun traitement de faveur ; M. le secrétaire d'État aura la possibilité de s'exprimer tout autant qu'elle. Je viens en effet d'apprendre que M. Véran, qui doit succéder à M. Giraud au banc, aura sans doute un peu de retard. Vous aviez également bénéficié, monsieur Rupin, de plus de temps que la durée impartie.
La parole est à M. le secrétaire d'État.