mais je ne suis pas le Carlos Gardel de la modification constitutionnelle.
Vous m'avez fait grief de ne rien changer. Vous avez affirmé que nous attendions que le Sénat renonce pour nous prévaloir de ce renoncement. Nous vous démontrons que ce n'était pas le cas : cela devrait vous ravir. Notre position sur ce terme a évolué : cela nous a été demandé, nous y avons réfléchi. Nous ne voulons pas que chacun coure dans son couloir respectif. Nous écoutons le travail parlementaire, malgré le reproche paradoxal qu'on nous adresse de ne pas entendre le Parlement. C'est comme ça.
L'amendement identique que je défends vise à rétablir l'article unique dans la rédaction adoptée par l'Assemblée nationale en première lecture, à l'exception du verbe « lutter », remplacé par le verbe « agir ».