Il me semble que nous parlons de deux choses différentes. L'idée de fixer un prix plancher – ou plafond, d'ailleurs – au niveau national n'a aucun sens. Il n'en va pas de même si l'on se place dans une logique de contrat où le producteur et l'acheteur s'engagent, disons pendant une durée de trois ans, sur des quantités et des modalités de livraison.