Il concerne aussi les enfants et les conjoints de parents radicalisés. La loi doit les protéger de tout endoctrinement forcé. Vous avez pourtant renoncé à cette disposition adoptée au Sénat. C'est incompréhensible !
Je vous le disais en février dernier : l'islamisme ne se combat pas à moitié. Il n'y a pas de juste milieu, pas de « en même temps » – sinon la bataille est déjà perdue. Aujourd'hui, la réponse est entre vos mains. J'espère que vous saurez écouter nos propositions pour permettre à ce texte de passer du stade des vœux pieux à celui de l'action.